Alors aujourd’hui, on va arrêter les grosses bêtes écailleuses et les femmes à demi nues (on le fait déjà pas d’habitude donc vous n’êtes pas trop dépaysés) et ma foi, nous allons nous laisser aller à un peu de sagesse ludique et asiatique en plus du clafoutis j’ai nommé : le Go.
Mes bons amis, il est question dans ce jeu au raffinement très orientale, non pas de blaster son petit camarade, mais de coexister mieux que lui. En effet, on ne gagne pas en mangeant les pièces adverses mais en colonisant de l’espace vacant.
Je ne me lancerai pas dans un vaste descriptif des finesses du Go avec un luxe de détails dedans, pour la simple raison que je vous propose de suivre la vidéo suivante que j’ai trouvé très bien foutue, sur les fondements de ce jeu multi-millénaire (quand même !).
Euh, et puis aussi parce que je ne suis pas un spécialiste de la question :-). Je ne sais pas si vous le savez, mais à l’instar des arts martiaux, il existe des degrés de maîtrise du jeu de go avec des « dan » et tout… et ben moi j’en ai pas !
Mais je vous encourage vivement à tester ce jeu superbe et qui change véritablement, de par son principe même, des autres jeux de stratégie dits « classiques » (genre échecs). Ah, on me dit dans l’oreillette que d’après Wikipedia (article très complet), il s’agit d’un jeu de stratégie combinatoire abstrait (et je trouve l’appellation vachement classe alors je la replace).
S’il y a des motivés parisiens, on joue parfois avec Vincent/Pim et Jean-Marc, et on serait ravis d’avoir de nouveaux adversaires (et surtout de trouver quelqu’un qui puisse mettre sa pilée à Pim).
Moi, je veux bien, par contre je suis TRES novice !!!