Et oui, encore une vidéo réalisée par les étudiant de L’ESMA. Je n’y ai pas d’actions, mais il faut avouer que les films qu’ils proposent sont absolument énormes !
Ce court métrage est absolument fabuleux. Comme je le disais en titre, c’est un joyeux mix entre Full Metal Jacket (le fameux « Sir yes Sir ! ») et du Tex Avery pur jus. Du coup, on se poil en voyant la recrue distraite pendant le brief de l’instructeur, se fourvoyer légèrement pendant l’exercice.
Heureusement qu’il y a des gens cultivés qui font des films !
Regardez ça, c’est exceptionnel !
Et on dit merci Néthie pour cette belle découverte.
A suivre pour bientôt, un petit article sur l’excellent jeu gratuit et téléchargeable Terra Incognita. Son seul défaut, être numérique donc dur à lire au lit !
On en recause plus tard. En attendant, elle vous plait la vidéo ?
Tolkien et son œuvre sont source de bien des transports. Après un dessin animé grandiose en 1978, après une trilogie remarquable (vous l’aurez sans doute remarqué) de Peter Jackson au cinéma, un nouveau film est né.
Il est né cette fois des mains de fans (Independent Online Cinema) qui, avec 5000 $ et tout leur talent, ont réalisé le tour de force de créer un film de 40 minutes qui n’a pas à rougir de la comparaison avec son grand frère plusieurs fois récompensé.
L’action se situe après que Gollum a échappé à Sauron et donc avant le début de la trilogie. Aragorn va partir en chasse pour capturer l’étrange créature et l’amener à Gandalf afin d’en apprendre plus sur le devenir de « son précieux ».
Je vous laisse vous goinfrer les n’oeils de cette superbe création qui m’a fort obligeamment été communiquée par Jonathan, qu’il en soit mille fois remercié.
Alors pour commencer, toutes mes excuses pour ce long silence scriptural d’une semaine, je ne suis qu’un misérable cloporte sous-taillé et je me hais de vous avoir laissé si longtemps sans nouvelles et loin de ce superbe blog. Paf, ça c’est fait
Passons maintenant aux choses sérieuses. Je cherchais avidement à vous dénicher quelque chose de chaud histoire de fêter dignement cette superbe vague de froid qui nous assaille (Copenhague ou pas). Et puis je me suis souvenu qu’en bons joueurs que vous êtes, vous avez une culture d’enfer et qu’en plus du clafoutis (je l’ai sortie y’a pas longtemps celle là non ?), vous savez rire.
Il me fallait donc quelque chose de chaud, certes, mais aussi de rigolo, de bien pensé et qui vous permette, soit de combler une des dernières infimes lacunes qui vous restent, soit de vous rafraîchir la mémoire (oui comme le thé à la menthe : un truc chaud qui rafraîchit) pour briller en société durant les fêtes.
Voici donc un classique qui traite de jeu, de rigolade et qui donnera peut être aux retardataires des idées de cadeaux puisqu’il y a des échiquiers pour toutes les bourses.
Et d’ailleurs, pour ceux qui en ont des bien fournies… de bourses, Pixar a sorti un coffret d’anthologie (c’est eux qui le disent, pas de parti pris me concernant) de 10 DVD avec 8 longs métrages et 22 courts aux alentours de 90 € ! Je suis client si quelqu’un veut me l’offrir (ça coûte rien d’essayer…).
Je vous laisse avec ce jeune homme facétieux qui nous rappelle qu’il vaut mieux avoir l’âge de ses artères que l’âge de César Franck (1822-1890)…
Bien à vous (j’adore cette formule… ça vous a un p’tit côté « homme-objet » mais sinon, je trouve ça rigolo) et bons jeux !
Laissez-moi vous présenter un duel mythique tiré d’un film qui fait partie intégrante du mythe RDJien, j’ai nommé, Princess Bride !
Je vous avoue qu’à l’origine, je voulais vous montrer une chouette vidéo d’escrime ancienne ou une bataille en GN, mais j’ai eu beau faire… pas trouvé ! Pas joli, pas chevaleresque, un 4×4 en arrière plan, y’avait toujours une chose qui brisait le rêve. Alors, j’ai décidé de vous faire entrer dans l’un des films mythiques de Rêves de Jeux, Princess Bride et particulièrement dans cette scène du duel entre « Pirate Roberts » et Inigo Montoya.
Là, on en a pour son argent. De la cascade, de l’humour, ça ferraille à tout va et c’est véritablement à crever de rire. En plus, les acteurs ont le bon goût de parler lentement, ce qui permettra à ceux qui, comme moi, ont les portugaises ensablées (comprenez « pas foutu de comprendre une tirade en texan ») de suivre quand même le dialogue.
Ainsi donc, si un jour vous croisez un type qui vous déclame « yé m’appelle Inigo Montoya, tou a toué mon père, prépare toi à mourir », vous saurez que vous avez affaire à quelqu’un de bien (parce que si on n’est pas au courant, ça peut effrayer !).
Enjoy !
P.S. : Comme d’hab’ la direction ne recule devant aucun sacrifice alors je vous mets la même, mais en français !! Et oui, chui comme ça moi !
